“Eppure ti vedo ancora” (Nota, 2010).
1.J’attends
2.Maglis blu
3.Bruleront
4.Il a dit
5.Thelema
6.Lydian Theme For Piano
7.Niente di niente
8.Domenica
9.Chère mademoiselle
10.La chouette
11.L’embrasse
12.Pensée
13.Il a dit (original version)
Priska Benelli (voice, guitars, bass)
Lucia Clonfero (violin)
Alfonso Londero (piano)
Alessio Benedetti (percussion)
Luca Brunetti (guitar, bass)
Claudia Grimaz (voice)
Alessandro Tammelleo (oboe)
Arianna Plazzotta (harpsichord).
“Eppure ti vedo ancora” – Preview
“Eppure ti vedo ancora” – Testi
Au delà du temps et de l’espace
Au delà du vent qui soufflé sur la place
J’attends
Que le feu rouge change de couleur
Qu’arrive l’été pour me donner la chaleur
J’attends
♠
La transformation de l’eau en vin
L’épanouissement des fleurs dans mon jardin
J’attends
Avec une valise à coté mes pieds
Un sourire inattendu dans la journée
J’attends
OUI J’ATTENDS
OUI
D’arriver finalement à la maison
Une loi qui prévoie pour le violeurs la castration
J’attends
La revanche des sorcières
D’etre fatiguée pour éteindre la lumière
J’attends
OUI J’ATTENDS
OUI
OUI J’ATTENDS
OUI
Se il gno mont l’è un prat
Plen di maglis blu
Cui sa mai parcè
Ca no l’è mai nessun
Che a si ul ferma
Fur di cjase me
A cjala chel prat
Plen di maglis blu
Se il gno mont l’è un prat
Cal và di rive jù
Cui sa mai parcé
Ca no l’è mai nessun
Che a si ul ferma
Per cjala cun me
Dut il vert dal prat
Cal va di rive jù
E i balcons cumò si viergin
Par ca jentri inmò la lus
Se il gno mont l’è un prat
Che a mi tire jù
Cui sa mai parcé
Ca no l’è mai nessun
Che a si ul ferma
Par tirami fur
Di chest mar profont
Che a mi tire jù
E i balcons cumò si viergin
Par ca jentri inmò la lus
Il s’approche
Quelque chose que
Je ne connais pas
Cette fois ci
Ce n’est pas
Un autre orage
A très peu elles vont servir
Toutes tes cartes de crédit
Ton passeport, ta religion
Ton ordinateur quand…
Il s’approchera
De ta maison
En silence
Et il s’en ira pas
De si tôt
Comme la marée
Qui ne s’arrête jamais
Froide
Noire
Tout va disparaître
Englouti par l’eau
Froide
Noire
Froide
Noire
Toutes les villes
Dormiront
Dans la nuit
Toutes les villes
Brûleront…
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Chaque cheveux sur ta tête
Chaque cheveux sur ta tête
Chaque cheveux sur ta tête
Un par un
Il est numéré
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Chaque petit grain de sable
Chaque petit grain de sable
Chaque petit grain de sable
Un par un
Il est numéré
numéré
Il a dit…
Il a dit…
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Chaque goutte de la mer
Chaque goutte de la mer
Chaque goutte de la mer
Une par une elle est numéro
numéré
Ouvre-moi la porte puisque
Il est arrivé le temps que j’aille
Ouvre-moi la porte puisque
Il est arrivé le temps que j’aille
Je garderai un beau souvenir de toi
Et puis je t’enverrais mots parfumés au tabac
Mais maintenant s’il te plait
Ouvre-moi la porte puisque
Il est arrivé le temps que j’aille
Ouvre-moi la porte puisque
Il est arrivé le temps que j’aille
Le Véritable Amour est la seule Loi
Qui pourra éclaircir mon chemin
Ouvre-moi la porte puisque
Il est arrivé le temps que j’aille
Ouvre-moi la porte puisque
Il est arrivé le temps que j’aille
Niente di niente
solite cose
cose da fare
cose da niente
Gente che passa
passa ogni cosa
l’aria è fredda
l’aria è vuota
E niente si ferma
il tempo è questo
quel che oggi non ho avuto
è perso
E niente ritorna
e il tempo è adesso
quel che oggi non ho preso
è perso
Niente di niente
solite strade
solite case
solite cose
Niente di niente
niente da dirsi
ora che parti
ora che è tardi
E niente si ferma
il tempo è questo
quel che oggi non ho avuto
è perso
E niente ritorna
e il tempo è adesso
quel che oggi non ho dato
è perso
Mi domando che farò domenica
Se starò a casa oppure no
Se rimarrò ad aspettare che prima o poi
Tu mi chiami per dirmi che, sì, mi vuoi
Forse andrò giù al fiume sai
Per ricordarmi chi sono
L’altro giorno la mia nonna mi disse che
Le donne perbene non fischiano mai
Che perdo troppo tempo dietro alla musica
Che se non avrò figli per me saran guai
Forse andrò giù al fiume sai
Per ricordarmi chi sono
Forse andrò giù al fiume sai
Per ricordarmi chi sono
(chi sono chi sono chi sono)
Forse andrò giù al fiume sai
Per ricordarmi chi sono
Chère mademoiselle voulez-vous chanter pour moi?
Un air de mon enfance doux et suave comme votre voix
Mélodie qui fredonne comme ça…
Uhu uhu uhu…
Assises sur la falaise embrassées par la lumière
Soleil qui plonge dans la mer en été comme en hiver
Pour moi le temps n’éxiste plus
Tenons-nous par la main en cette soirée
Comme si cela était une belle habitude
Que je puisse oublier pour un instant
L’amie de tout les jours,
La solitude
Chère mademoiselle voulez-vous chanter pour moi?
Un air de mon enfance doux et suave comme votre voix
Qui me reporte si loin de ce temps là
Tenons-nous par la main en cette soirée
Comme si cela était une belle habitude
Que je puisse oublier pour un instant
L’amie de tout les jours,
La solitude
T’es là dans l’ombre noire
La chouette qui porte malheur
T’es là la femme du diable
Ton esprit ne trouve plus de repos
A toi cette glace brisée
Cette pluie de sang, de feu
A toi cette fleur sauvage
Nul ne peut fuir sa destinée
Ton esprit ne trouve plus de repos
Nous sommes tous parents en Adam
Mais le paradis est si loin
Dans ce monde tout ce qu’on aime
Dure très peu et après il s’en va
Dure très peu et après il s’en va…
Lilith encore errante
Dans lieux très désolés
Raconte sa légende
Le vent qui arrive de Levant
Dure très peu et après il s’en va…
Il y a ton esprit qui danse
Sur la Terre
Qu’il s’appelle ‘Liberté’
Montre-moi le chemin
Et emmène-moi d’ici…
Il y a ta lumière qui danse
Sur la Terre
Elle s’appelle ‘Vérité’
Je tourne mes premiers pas
Vers toi…
Serre-moi fort dans tes bras
Que je puisse entendre ton cœur
Serre-moi fort dans tes bras
Et après serre-moi encore
Ma maison était plaine de personnes joyeuses juste comme toi
Encore quelque jour et puis peut-etre l’hiver s’en va
Elle a déviée le vent cosmique la route de notre astronef
A centvingtmil ans lumière de ton éspace vital
Je vais enterer mon cœur dans ton sécrétariat téléphonique
S’il te plait ne pas dire mon prénom à personne
Pensée qui n’a pas sense
Pensèe qui n’a pas sense
Pensé qui n’a pas…
Demain ils vendront à tes fils et tes filles les blancs nuages du ciel
Il douvront verser plusieures milions de larmes par mois
Pensée qui n’a pas sense
Pensèe qui n’a pas sense
Pensé qui n’a pas…
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Chaque cheveux sur ta tête
Chaque cheveux sur ta tête
Chaque cheveux sur ta tête
Un par un
Il est numéré
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Chaque petit grain de sable
Chaque petit grain de sable
Chaque petit grain de sable
Un par un
Il est numéré
numéré
Il a dit…
Il a dit…
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Il a dit
Qui va suivre mon chemin ne mourra pas
Chaque goutte de la mer
Chaque goutte de la mer
Chaque goutte de la mer
Une par une elle est numéré
numéré
“Eppure ti vedo ancora” – Recensioni
- Rokerilla
- Blow Up
- www.ondarock.it
- www.bielle.org
PRISKA Eppure ti vedo ancora • CD Nota
La cantautrice franco-friulana giunge alla seconda prova discografica dopo il notevole esordio di più di due anni fa. Questo nuovo album, se possibile ancora più intimista e minimale, mette in luce il singolare talento di Priska nel dare voce ricca di grazia a melodie soffici, urla di silenzio.
Ciò che ci colpisce di “Eppure ti vedo ancora” è la profondità dei contenuti; sia musicali che a livello di testi, con liriche scritte da Lino Straulino (“Bruleront”: epica e terribile o ‘’Pensée”, delicata e devota), da Alessandro Hellmann o con disillusa introspezione dalla stessa autrice.
Con voce di ambra e velluto, dal timbro inconfondibile, Priska canta racconti velati d’impalpabile, diafana malinconia e, proprio dove l’io parlante si cimenta a definire un sé, come nella splendida, lirica “Thelema “, vengono raggiunti i vertici dell’espressione. ‘’Domenica”, brano curioso e stralunato con un oboe sinuoso e arabesco che ricorda le nobili intenzioni della Third Ear Band.
Proprio nei brani dove Priska scrive i propri testi prende plastica forma una unità peculiare patrimonio dei veri grandi, come “Chère Mademoiselle’’ che – come la trasognante copertina – porta alle labbra un avventuroso sapore di progressi e, reso ancora più intenso da un moog d’antico aroma. ‘’L’ embrasse ‘’, lunga solo una manciata di intensi, struggenti, mistici secondi, andrebbe inclusa, se ci fosse giustizia al mondo, tra le più belle canzomai scritte.
Un passo avanti rispetto al pur straordinario lavoro precedente. Senz’altro uno degli album dell’anno.
Massimo Marchini (8/10)
CHANTEUSE D’ESSAI -FOLK
PRISKA Eppure ti vedo ancora • CD Nota • 13t- 37:36
Incontrammo Priska Benelli, friulana di Francia, al lusinghiero esordio prodotto con Lino Straulino.
La ritroviamo protagonista di un curato manufatto che contiene impressioni personali in italiano, francese e marilenghe, con il culmine del testo di Domenica.
La tradizione non imbalsamata e la geografia spaziale aggiungono valore ad una vena espositiva mai banale, rarefatta (Il a dit, verso Irlanda) o casalinga, fin troppo “levigata” e comunque raffinata.
(6/7) Enrico Veronese
Un capolavoro. Un indubbio, importante passo in avanti rispetto a un pur straordinario esordio.
Un capolavoro per la musica italiana che potrà diventare un disco raro (stampato in poche copie) per i collezionisti in un probabile futuro nel quale il vero talento abbia il riconoscimento che merita.
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Ce ne sono pochi di album così in giro, ancora meno fatti, pensati e suonati da donne. Non perdetelo.